Um momento, um „recit“ que sempre me deixa cheio de melancolia. De uma bonita melancolia...
Beleza de extrema sensibilidade esta composição do grande Michel Legrand…
Cassard:
Autrefois, j’ai aimé une femme.
Elle ne m’aimait pas.
On l’appelait Lola, autrefois.
Déçu, j’ai voulu l’oublier,
alors j’ai quitté la France.
Je suis allé au bout du monde, mais la vie me paraissait sans attrait.
Et puis, le hasard m’a mis sur votre route.
Mais que j’ai vu Geneviève j’ai su que je l’attendais.
Depuis cette rencontre ma vie a pris un autre sens.
À tout instant c’est elle que je vois.
Je ne vis que pour elle !
Je ne pense plus qu’à elle !
J’ai voulu vous parler franchement.
Vous ne m’en voudrez pas ?
Il n’est bien sûr pas question d’influencer Geneviève.
Geneviève est libre.
Demain, je repars à Amsterdam pour trois mois.
À mon retour, Geneviève me donnera elle-même sa réponse.
Mme Émery:
Je ne sais que vous dire !
Cassard:
Mais ne me dites rien.
Geneviève décidera elle-même.
Bonsoir, Madame.
Mme Émery:
Bonsoir, Monsieur Cassard
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